Le monde des deux-roues offre de nombreuses possibilités pour différents types d’acheteurs. Le modèle Mash 250 se distingue fortement parmi ces options grâce à ses caractéristiques uniques et son look rétro. De la gestion des problèmes courants à l’analyse de chaque variante, cet article plonge dans les divers aspects qui font de cette moto un excellent choix.
Les avis de l’ancien Forum sur le Mash 250
Bonjour à tous,
Je tenais à partager mon retour d’expérience sur ma machine actuelle, la Mash Two Fifty. Après m’être séparé de mon Z300, principalement en raison de ma conduite « non raisonnable », j’ai réalisé qu’une moto de 40 chevaux/300 c’était encore trop pour moi, surtout en tenant compte des radars et de la sécurité. J’ai donc pris la décision de chercher une moto moins performante, mais toujours capable de gérer les trajets sur des voies rapides.
Choix de la Mash Two Fifty
J’ai écarté les 125cc malgré leur esthétique parfois très réussie, car je voulais quelque chose d’un peu plus robuste. Mon budget étant limité à 5 000€, je me suis orienté vers la Mash Two Fifty, un modèle 2017 conforme aux normes Euro 4, équipé de l’ABS et d’une nouvelle injection. J’ai opté pour la version « scrambler » avec des pneus crampons qui, bien que m’ayant un peu inquiété au départ, se sont révélés convenables. La moto coûte 3 490€, cube à 250cc et développe 20 chevaux, ce qui représente un changement radical par rapport au Z300, mais c’était exactement ce que je recherchais.
Bilan après 4 mois et 5 000 km
Après un peu plus de quatre mois d’utilisation et 5 000 km parcourus, je suis globalement satisfait de cette machine. Bien sûr, elle ne me permet plus de faire la course avec d’autres motos, car la vitesse maximale atteint les 120-130 km/h (parfois en descente), mais sur les faux plats, je reste à 110 km/h. L’ego en prend un coup au début, surtout lorsqu’une voiture me redouble en côte, mais je m’y suis habitué.
La finition de cette Mash Two Fifty est correcte, bien qu’il y ait toujours des points perfectibles. Néanmoins, pour une moto à ce prix, il ne faut pas s’attendre à la perfection. En termes de tenue de route, elle fait le travail, surtout compte tenu de sa vitesse de pointe. Les pneus ne posent pas de problème sur sol sec, bien que je n’aie pas testé sous la pluie, car je deviens de toute façon « parano » dès qu’il pleut.
Quelques soucis rencontrés
J’ai effectivement rencontré un problème recensé sur le forum concernant un défaut de circuit électrique au niveau du compteur, qui a parfois affiché des vitesses farfelues, comme 160 km/h à l’arrêt. Heureusement, ce problème a été rapidement pris en charge par le service après-vente. En ce qui concerne la consommation, c’est le point noir de cette moto. Bien qu’annoncée à 2,3 L/100 km par le fabricant, je m’attendais à 3,2-3,5 L/100 km en fonction de ma conduite. Cependant, en roulant constamment à pleine vitesse (120 km/h), ma consommation a grimpé à 4,0-4,3 L/100 km, ce que je trouve excessif par rapport aux prestations.
Je continue de suivre le forum car je reste attaché à mon ancienne Z300 et apprécie les discussions autour des motos de moins de 500 cc. J’ai également été impressionné par les nouveautés Benelli, comme la 402s, bien que je pense rester fidèle à ma Mash pour le moment.
Pour conclure, malgré quelques inconvénients, je suis satisfait de ma Mash Two Fifty. Elle remplit bien son rôle pour mes trajets quotidiens et m’aide à maintenir une conduite plus raisonnable. Je vous tiendrai au courant de son évolution !
Réponse de Gadget (Lundi 13 novembre 2017)
Content d’apprendre que ta nouvelle monture ne te cause pas trop de soucis. Je suis surpris par ton choix de la Mash, une marque chinoise, surtout après tes déboires avec KTM (de fabrication indienne). Personnellement, j’avais envisagé cette marque mais la finition m’avait refroidi, notamment en ce qui concerne la résistance à la corrosion. La nouvelle Benelli est en effet superbe, mais dommage pour le passager, ce qui est rédhibitoire pour moi. Tiens-nous au courant de tes aventures avec la Mash !
Réponse de Leroidutitane (Jeudi 16 novembre 2017)
Bonjour, la Benelli 402s semble être une moto sympathique pour des balades tranquilles, avec un look accrocheur. Concernant Mash, j’avais envisagé d’en acheter une pour mon père, mais mon concessionnaire Kawa m’a déconseillé cette marque en raison de nombreux problèmes rencontrés, tant avec les motos qu’avec le service après-vente. J’espère que tu n’auras pas de problèmes mécaniques. En tout cas, il est important de ne pas toujours pousser une moto à sa vitesse maximale pour préserver la mécanique.
Réponse de Gadget (Jeudi 16 novembre 2017)
À une époque, je roulais avec des machines de plus de 200 kg et 75 chevaux, sans jamais essayer d’atteindre leur vitesse maximale. Comme toi, vic987, j’ai opté pour la décroissance, sans regret. Pour moi, il est important que la vitesse de pointe ne soit pas trop élevée, sinon je me retrouve presque en sous-régime aux allures légales.
Réponse de vic987 (Vendredi 17 novembre 2017)
Et oui Gadget, c’est triste d’en arriver là à mon âge ! J’ai poussé toutes mes machines à leur maximum, et sur le 600 Fazer, je faisais régulièrement des pointes à 230-240 km/h. La vitesse est en effet un problème, surtout sur les routes ouvertes. Cependant, je suis maintenant convaincu qu’il est possible de profiter d’une moto sans avoir besoin d’atteindre des vitesses extrêmes.
Réponse de Gadget (Vendredi 17 novembre 2017)
Je comprends tout à fait ce que tu dis. Après avoir roulé avec des motos puissantes, j’ai également opté pour une machine plus raisonnable. La décroissance en cylindrée et en puissance s’est imposée comme une évidence pour moi, permettant de profiter du plaisir de la moto sans les excès.
Caractéristiques de la Mash Two Fifty 2024
| Caractéristiques | Détails |
|---|---|
| Châssis | |
| Cadre | Berceau tubulaire en acier |
| Réservoir | 14 litres |
| Hauteur de selle | 780 mm |
| Longueur | 2 065 mm |
| Largeur | 835 mm |
| Hauteur min | 1 120 mm |
| Poids à sec | 140 kg |
| Train avant | |
| Fourche | Téléhydraulique inversée Ø 38 mm |
| Freinage | 1 disque Ø 300 mm, étrier 3 pistons |
| Roue AV | 110 / 70 – 17 |
| Pression | 1.8 bars |
| Technique | |
| Transmission | Boîte à 5 rapports, manuelle |
| Secondaire | Par chaîne |
| Train arrière | |
| Amortisseurs | 2 amortisseurs latéraux |
| Freinage | 1 disque Ø 220 mm, étrier simple piston |
| Roue AR | 130 / 70 – 17 |
| Pression | 2.2 bars |
| Moteur | |
| Type | Monocylindre en ligne, 4 temps |
| Refroidissement | Par air |
| Injection | |
| ACT | 1 ACT |
| Soupapes | 2 soupapes |
| Cylindrée | 249 cc (Alésage * course: 72 x 61.2 mm) |
| Puissance | 17,60 ch à 7 500 tr/min |
| Couple | 2 mkg à 6 000 tr/min |
| Rapport poids / puissance | 7.95 kg/ch |
| Rapport poids / couple | 70 kg/mkg |
| Emission CO² | 66 g/km |
| Crit’air | |
| Options / Équipements | |
| Assistance au freinage | ABS |
Moteur et performances
La Mash 250 est équipée d’un moteur monocylindre de 250 cm³ refroidi par air, offrant une puissance adéquate. Son design simple réduit les chances de rencontrer de multiples problèmes mécaniques, ce qui rassure grandement les acheteurs soucieux de la fiabilité. En ville comme sur route ouverte, la machine propose une conduite confortable et fluide.
- Puissance : Environ 20 chevaux
- Vitesse maximale : 120 km/h
- Capacité du réservoir : 14 litres
Design et esthétique
Un des attraits majeurs de la Mash 250 réside dans son look vintage, rappelant les motos classiques des années 70. Avec une attention particulière portée aux détails, la moto reçoit fréquemment des éloges pour son apparence chic et authentique. Disponible en plusieurs coloris, la Mash 250 répond aux goûts variés des passionnés de motos stylées.
Confort et ergonomie
En termes d’ergonomie, la Mash 250 est conçue pour offrir un confort optimal. Sa selle généreusement rembourrée permet aux conducteurs de s’installer aisément pour des trajets longue durée sans ressentir de fatigue excessive. Les commandes sont intuitivement disposées, rendant l’utilisation plus agréable et sécuritaire.
Problèmes potentiels et solutions
Toute moto nécessite un entretien régulier, et la Mash 250 ne fait pas exception. Changements d’huile, vérifications des freins, et ajustements réguliers de la chaîne sont essentiels pour éviter les dysfonctionnements. Utiliser des pièces d’origine garantit une meilleure durabilité et performance du véhicule.
Par exemple, certains utilisateurs ont signalé des soucis avec la batterie. Pour y remédier, vérifier régulièrement les connexions et le niveau de charge peut prévenir la plupart des défaillances. Des tutoriaux disponibles en ligne offrent aussi des procédures simples pour résoudre ces incidents rapidement.
Mash 250 : une esthétique culturel pour les motards
Le look distinctif de la Mash 250 inspire beaucoup d’adeptes de la mode rétro. Les vêtements et accessoires associés à ce style bénéficient d’un regain de popularité grâce à la prolifération de ces modèles sur le marché. Porter un casque vintage ou des tenues assorties devient presque une norme parmi les fans de la marque.
La présence croissante des Mash 250 a aidé à former des communautés locales et même internationales. Ces groupes échangent conseils, organisent des sorties communes et partagent une passion commune pour ces incroyables machines. Cette dynamique communautaire ajoute une dimension sociale enrichissante à la propriété d’une telle moto.
Différences entre le Mash 250 et le Mash 400
Puissance et expérience de conduite
Comparativement au modèle 250, le Mash 400 propose un moteur nettement plus puissant. Avec ses 397 cm³, il délivre environ 27 chevaux, apportant une vitesse et une accélération supérieures. Cette avancée se traduit par une conduite plus dynamique mais elle demande davantage d’expérience de la part du pilote.
Diversité d’utilisation
Tandis que le Mash 250 excelle en milieu urbain grâce à sa légèreté et sa maniabilité, le Mash 400 s’adapte mieux aux longues distances et aux parcours plus escarpés. Son châssis robuste et sa suspension améliorée garantissent une tenue solide, même sur des terrains moins accueillants.
Prix et accessibilité
L’une des différences notables entre ces deux modèles demeure le prix. La Mash 250 reste plus abordable, ce qui en fait un choix pertinent pour ceux débutant dans l’univers des motos ou désirant une solution économique. Le Mash 400, étant plus cher, convient mieux aux conducteurs prêts à investir davantage pour plus de puissance et de robustesse.